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  ***À ceux qui ont croisé mon chemin dans la vie, je dis merci***     À ceux qui ont croisé mon chemin dans la vie, je dis merci,   Pour chaque sourire, chaque parole, chaque petit geste infini,   Vous avez été l'étoile dans mes nuits sombres,   L'éclair qui a chassé l'ombre et éclairé mes nuits.     Merci à ceux qui m’ont tendu leur main,   Quand mes pas se faisaient hésitants et incertains,   À ceux qui ont compris mes silences, mes faiblesses,   Et qui, sans me juger, m'ont offert leur tendresse.     Merci à vous, âmes croisées sur ma route,   Qui avez laissé en moi des traces sans doute,   Des souvenirs précieux, des leçons, des élans,   Qui, chaque jour, m’accompagnent tendrement.     Merci à ceux qui ont partagé mes rires et mes pleurs,   Qui ont apporté un peu de lumière dans mes heur...
  On m’ appelle Sadok   Dans l’Univers infini qu’on appelle le Cosmos Il y a une y a une galaxie parmi des milliards d autres, qu’on appelle la Voie Lactée  Dans cette galaxie, il y a une planète bleue qu on appelle la Terre  Dans cette planète, il y a un continent qu’on appelle l’Afrique  Dans ce continent il y a un pays qu’on appelle la Tunisie  Dans ce pays il y a une ville qu’on appelle Tunis  Dans cette ville il y a un quartier qu’on appelle El Manar  Dans ce quartier il y a une résidence qu’on appelle Kenz Dans cette résidence, il y a un appartement au rez-de-chaussée  Dans cet appartement il y a un économiste le jour, poète la nuit, qu’on appelle Sadok  Quarante ans d’une vie d’économiste consultant, d’illusions sincères,   Lui ont laisser un vide, un goût amer.   Pourtant il a aimé le travail, analysé des projets, Rédigé des rapports d’étude parfaits.   Mais qui const...
  Économiste le jour, poète la nuit Le jour, mon esprit calcule et analyse Alignant les chiffres, traçant les courbes. Dans l’univers froid des prévisions, Où chaque résultat dicte une décision. Je parle de taux de rentabilité économique  De modèles de prévision du trafic  La logique y règne, implacable et froide  Sans état d âme, sans place pour la joie  Mais quand le crépuscule efface l’azur, Quand le monde s’endort sous un voile obscur, Je délaisse les nombres, j’oublie les bilans, Pour un autre langage, vibrant et troublant. Mon cœur s’évade, cherchant l’infini, Loin des calculs et des méthodologies  Alors naissent des rimes, des songes errants, Des mots légers comme le vent, Économiste quand se lève le jour, Poète quand la nuit m’entoure, Deux visages, un même esprit, Entre raison et rêverie. Sadok Zerelli